Newsletter n°8 – Bonne Année 2018

Bonjour à vous, adhérent(e)s de l’association,

Puisque c’est l’époque, commençons par : que 2018 vous apporte à vous et à vos proches du bonheur, encore du bonheur, toujours … … et poursuivons par : nous venons de faire un pointage et remarquons que vous êtes quelques-uns àne pas avoir ré-adherépour cette nouvelle saison.

Vérifiez si vous faites partie de ces quelques personnes et si c’est le cas … à vos stylos (cliquer ici pour une adhésion ou ré-adhésion) .

Nous ne voudrions perdre personne en cours de route.

Notre projet avance et dans les mois qui viennent ( ! ) nous devrions pouvoir ouvrir le site au public, et làvous vous rendrez compte du travail accompli depuis la création de l’association.
Bien sur que ce sera peu de choses par rapport à l’importance qu’ont eu les mines pour la région et ses habitants et bien sûr que certains penseront, voire diront ! que l’on aurait pu faire mieux. Mais en attendant, personne depuis la fermeture il y a trente ans n’avait réussi à préserver ce site et à le valoriser (si ce n’est, dans la limite de leurs moyens, le Collectif d’Artistes de Centrale 7 ainsi que les artistes Jimmix et Florent Maussion).

Rencontre avec Monique Lijour, fille de mineur

Alors ne nous lâchez pas, on tient le bon bout.

Il sera toujours temps de faire plus et mieux dans les années qui viendront, mais, l’équipe de bénévoles que nous sommes a ses limites et ce n’est  »que cela » que nous pourrons présenter au public : principalement des panneaux d’information qui raconteront l’histoire de la mine et des mineurs et une reconstitution de scène de vie dans une galerie. Et pour y arriver nous aurons passé bien des journées et des soirées, en n’oubliant naturellement pas le travail effectué par des professionnels auxquels nous avons dû recourir pour :

  • l’écriture des textes qui figureront sur les panneaux et la mise en page avec graphiques et photos – la fabrication puis l’installation de ces panneaux
  • la réalisation de la scénographie représentant l’intérieur d’une galerie de mine
  • la pose d’une clôture qui avait été précédée d’un diagnostic du chevalement

Et il ne faut pas oublier le temps passé par les employés communaux pour sécuriser certains endroits et assurer l’entretien du site, en complément de celui que nous avons fait nous-mêmes.

Cordialement, pour l’association, le président :
Marc Beluet

En photo avec un autre membre du C.A., Jean Fayol, lors de l’interview de Monique Lijour, fille de mineur (les femmes et les enfants de mineurs seront des sujets abordés dans les panneaux sur lesquels travaille Pierre Boureau présent ce même jour).
Cliquez pour lire l’article 

 

Rencontre avec Monique Lijour, fille de mineur

Dans le cadre du travail que Pierre Boureau de la Société  »Les Films du Cercle Rouge » est en train d’effectuer pour l’association, une rencontre a été organisée avec Monique Lijour, une fille de mineur qui a vécu à Segré dans la cité de Baugé (appelée par les mineurs  »la cité des Mines »).

Rencontre avec Monique Lijour, fille de mineur

Cet interview réalisée en présence de Marc Beluet et de Jean Fayol, membres de l’association, permettra à Pierre Boureau de mieux connaître qu’elle était dans les années 60 et 70 la vie des femmes de mineurs et la vie en générale dans les cités minières.

Ces renseignements lui sont nécessaires pour écrire les textes qui figureront sur les panneaux d’information qui seront installés sur le site.
Ce travail vient s’ajouter à tout ce qui a déjà été fait : interviews, filmés pour certains, de mineurs, femmes de mineurs, enfants de mineurs, … , collecte de photos, etc.